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A l’intérieur, on retrouve, au travers des vitraux, les événements évoqués par ailleurs : la vie et le martyre de Sainte Barbe, les tempêtes et les naufrages des navires marchands, les combats entre Chouans et Bleus. Dans le choeur, les pierres de taille sont mises en valeur, les autres étaient recouvertes d’un crépi à l’ancienne qu’il a fallu retirer suite à des problèmes d’infiltration d’eau. Nous espérons pouvoir bientôt le remplacer. |
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Le vitrail central retrace l’histoire de sainte Barbe.
En bas, on retrouve la tour où elle fut enfermée par son père qui voulait lui éviter tout contact avec les Chrétiens. Au centre, le père lève une épée sur sa fille qui refuse de renier sa foi chrétienne. En haut, le châtiment céleste : le père est foudroyé. Ce vitrail central a été réalisé en 1979-1980 par monsieur Gérard Milon, maître verrier à Eus (Pyrenées orientales). |
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Deux statues sont posées sur un culot de granit : Sainte Barbe à gauche du vitrail central et Saint Jean-Baptiste à droite. L’autel fait face à l’assistance. |
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Le Tabernacle a été aménagé dans l’angle gauche, avec une porte sculptée d’un ostensoir, oeuvre de monsieur Guy Keraudran de Plouharnel. |
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Dans le choeur également, l’icône représentant Notre-Dame du Bon Accueil a été réalisée et offerte par monsieur René Cassin, artiste peintre résidant à Sainte-Barbe. |
La porte de la sacristie a été sculptée à l’effigie
de Sainte Barbe par ce même artiste-artisan.
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Le vitrail latéral du choeur symbolise les naufrages qui ont eu lieu au pied de la chapelle. Le vitrail latéral de la nef illustre la bataille des “Bleus” et des “Blancs” avec, au fond, le village de Sainte-Barbe. Le petit vitrail, au fond de la chapelle, est une merveille de couleur (bleu) rappelant la lumière des trois autres vitraux. Ces trois derniers vitraux ont également été réalisés par monsieur Gérard Milon en 1985. 
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Le chemin de croix, qui a la particularité d’avoir une quinzième station représentant la résurrection du Christ, est l’oeuvre de l’abbé Jean Le Goux de Rennes, pour le dessin, et du frère Armel Pacault, moine de l’abbaye Sainte Anne de Kergonan, pour la réalisation sur céramique en 1995. En attendant la réfection de l’enduit intérieur, il est conservé à l’abri des intempéries.
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L’escalier du fond permet de monter à la tour,
mais, pour des raisons de sécurité,
la porte d’accès reste fermée.
De l’observatoire, la vue est dégagée
sur des kilomètres à la ronde.
On distingue, par exemple, parfaitement
la plage de Sainte-Barbe et l’île de Roélan,
en face d’Erdeven.
